Madame lit son défi de janvier

21 réflexions sur “Madame lit son défi de janvier”

  1. Je ne comprends pas ce que tu appelles un « roman poème » : est-ce un expression québécoise pour désigner un roman en vers ou un genre propre à la littérature québécoise ? Dans ce cas, je serais curieuse d’en savoir plus 🙂

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    1. Je ne crois pas que c’est une expression québécoise… peut-être… en tous, les cas, c’est la façon dont la maison d’édition présente ce récit. Merci pour ton commentaire qui soulève un questionnement sur les notions de roman en vers et roman poème. J’ai modifié le commentaire car ce n’est pas un roman en vers… Désolée…

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  2. Merci de nous amener dans un univers peu connu. Ton avis très complet sur ce texte nous donne envie de parcourir ce roman poème. Personnellement je ne connais pas ce style littéraire, mais j’ai très envie de découvrir la touche poétique qui peut renforcer un texte !

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  3. La légende des siècles de Victor Hugo est d’après moi le seul roman poème que j’ai lu. D’ailleurs, est-ce vraiment un roman poème ? D’après moi oui… J’ai aimé, mais je n’en lirai pas plusieurs dans l’année non plus. Est-ce que l’Iliade et l’odyssée d’Homère avec ses différents chants peut être considérée comme un roman poème ? En tout cas, merci pour cette découverte, comme toujours très intéressante…

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      1. Je vais d’ailleurs bientôt publier un billet sur un livre qui est considéré comme un roman poème, mais qui n’est pas rédigé en vers. Si je peux et afin de coller à l’actualité de ton blog, j’avance ma publication à mardi.

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  4. Les genres littéraires sont en train de se modifier. Monique Larue en parle dans son dernier livre: La leçon de Jérusalem. Pensons aussi à Charlotte de David Foenkinos qu’on ne qualifie pas de roman poème, mais simplement de « écrit à la ligne ». Mais Foenkinos a écrit une phrase (avec un point à la fin) par ligne, ce qui n’est pas le cas de Louis-Philippe Hébert.

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    1. Merci beaucoup pour votre commentaire… Je comprends un peu mieux la confusion créée par la maison d’édition en qualifiant ce récit de roman poème… Je vais devoir lire le dernier Monique Larue pour en apprendre davantage sur cette modification des genres littéraires.

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      1. Dans son chapitre sur le roman, Monique Larue ne donne pas un cours sur les genres littéraires, elle relève tout au plus les mots estampille et exofiction pour désigner ces « nouveaux » genres. Ensuite, elle relate des expériences personnelles avec des journalistes, collègues ou animateurs qui tiendraient absolument à ce que les romans relèvent de l’autobiographie ou encore de la réalité.

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