Madame lit 37o 2 le matin

15 réflexions sur “Madame lit 37o 2 le matin”

  1. J’ai lu 37² il y a très longtemps, c’était alors le roman d’amour absolu et moderne. En y repensant plus tard, j’y ai vu l’histoire d’une femme qui se sacrifiait pour que son homme un peu à la dérive, devienne l’écrivain qu’elle voulait qu’il soit. Sacrifice allant jusqu’à la mutilation et la folie violente, mais sacrifice efficace, puisque la renommée venait repêcher le bonhomme à la dérive… En retour de quoi il la tuait.
    Bref, encore l’histoire d’une femme qui meurt pour le génie d’un homme, le tout raconté par l’homme.(évidemment). 😦

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    1. cerise sur le gateau, avant de se consacrer à son homme, elle voulait avoir un enfant – en vain – ; donc, une femme qui se vit à travers les clichés les plus éculés (amante, mère, muse) et en fait non, ne se vit même pas, puisqu’elle en meurt. 😦

      reste la téquila rapido que, si je me souviens bien, le roman a remis à la mode 🙂

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      1. je suis d’accord, dans l’histoire, Betty est présentée ainsi, et le narrateur est sincère. Ce qui me chiffonne, c’est juste qu’au bout du compte, l’héroïne ne se définit que par rapport au héros (amante, porteuse de l’enfant, puis forceuse de destin d’écrivain) ; le héros/narrateur, lui, se laisse porter et sauver sans rien donner en échange (si, je suis injuste : de l’amour et la délivrance)

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  2. J’ai lu ce livre il y a plusieurs années de cela. À ce moment tout un tapage publicitaire en lien avec ce livre et le film qu’ on avait fait à l’époque. Je n’avais pas apprécié ce livre à sa juste valeur.
    Ta question sur la nécessité de lire ce livre me plaît… Dont-on lire 37.2 le matin? Oui. C’est beau. C’est triste. C’est l’histoire d’un homme, d’une femme et de l’Amour.
    Comment résister à de telles affirmations. Février s’achève mais je vais certainement retourner à ce livre, tu m’en donnes vraiment le goût…

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  3. Je connais davantage Djian Philippe comme parolier de Stephan Eicher que comme romancier. On lui doit les paroles de ‘Déjeuner en paix’, ‘Pas d’ami comme toi’ ou encore ‘confetti’ Par ailleurs, le film 37,2 de JC Beinex m’avait bien plus (dans les années 85-90 ?) mais j’avoue ne pas avoir pointé alors le nom de Djian comme étant à la source.

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