Chère lectrice, Cher lecteur,
Dans Le temps du paysage, Hélène Dorion aborde la mort de son père alors qu’elle se retrouve sur un autre continent. Elle puise dans cet appel de l’autre côté de l’Atlantique des images pour aborder la perte d’un être cher. À cet égard, elle traite de ce deuil qui malheureusement va l’habiter, l’accompagner et ce dernier va lui permettre de coucher sur le papier de merveilleux vers… Quand la mort rencontre la beauté. J’avais le goût de partager avec vous aujourd’hui, un extrait de ce recueil poétique.

Cette citation me fait penser à mon père, me renvoie à sa mort, à ce deuil, à cette cicatrice qui ne sera jamais guérie. Il est des jours où parfois, les marées symbolisent le mouvement de notre intériorité. Je voudrais que se profile au loin le monde que mon père m’aurait dessiné.
Si vous n’avez rien lu d’Hélène Dorion, je vous encourage vivement à découvrir sa plume. Pour lire mon article sur un de ses livres, cliquez sur Pas même le bruit d’un fleuve.
Bien à vous,
Madame lit
Je veux absolument la lire !
Et je pense opter pour ce texte en premier.
Merci Madame pour la piqûre de rappel.
Très bon samedimanche !
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J’espère que tu vas la lire car elle le mérite vraiment. Je passe toujours d’excellents moments de lecture avec ses livres. Merci!
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oui, je la lirai. quand je ne le sais pas, mais elle fait partie des écrivaines que je souhaite découvrir.
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Bonne découverte!
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Ça à l’air d’un livre triste et poignant… C’est parfois plus dur de faire un deuil quand on « rate » l’événement ou l’enterrement.
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Sans aucun doute…
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