Madame lit Son odeur après la pluie

22 réflexions sur “Madame lit Son odeur après la pluie”

  1. Quel merveilleux texte avec tout ce qu’il nous apprend. Les différentes façons dont tu tiens Miss Emma font bien voir l’amour que tu lui portais. Je vais certainement avoir le goût de lire ce livre qui me fera penser au chat que j’ai perdu car il avait été attaqué par un raton… Bravo pour ce texte et félicitations pour la qualité de ta vidéo…

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    1. Merci beaucoup pour ce commentaire. Je l’apprécie énormément. Miss Emma a été une fidèle compagne et j’y pense souvent, presqu’à tous les jours. En plus, elle dormait entre mes jambes. Nous avions une belle relation. Perdre un animal, c’est un gros deuil,,,

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  2. Quel beau commentaire…Moi qui suis amoureuse des chiens, de tous les animaux en fait, je m’y suis retrouvée complètement. Je lirai sûrement ce magnifique roman dont j’ai aussi entendu parler beaucoup. Merci pour ceci!

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  3. J’ai commencé ce livre mais ne l’ai pas fini. J’y suis retournée plusieurs fois mais ne parvenais pas à avancer. C’est une belle histoire certes mais je trouve que l’auteur en fait beaucoup. J’aime les animaux, d’ailleurs je ne les mange pas, mais j’ai trouvé la relation de cet homme avec son chien trop extrême. Il semble qu’il n’y ait de place pour rien d’autre. J’y retournerai peut-être, sans certitude.

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    1. Merci pour ce commentaire. Le but de ce livre, à mon humble avis, était de parler seulement d’Ubac et de le faire revivre. Je ne mange pas d’animal également. Parfois, il ne faut pas trop chercher. Un livre n’est tout simplement pas pour nous. Au plaisir1

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  4. Je n’ai pas lu ce roman mais n’en ai entendu que du positif. Et quel bel hommage à Miss Emma… oui, on peut avoir de belles relations d’amour avec un animal. De mon côté, je préfère les chats, et mon Noé, que j’appelais Nouille ou Grenouille, me manque toujours à ce jour alors que ça fait plus de 20 ans…

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    1. Je te comprends par rapport à la perte de ton chat… J’ai perdu mon gros Raoul avant Miss Emma et j’y pense souvent… Et j’ai aussi 3 chats à la maison. En fait, je ne me vois pas vivre sans un animal. Qu’on aime un chat ou un chien, c’est la relation d’amour qui compte! Merci!

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  5. Miss Emma, quel nom magnifique 😍, et je te comprends, le lien avec un chien ou un chat est magnifique, jusqu’au bout malgré la douleur. Ta vidéo m’a beaucoup émue … J’ai offert ce livre à mon mari récemment, mais ni lui ni moi n’arrivons à le commencer, je crois que nous avons trop peur d’être bouleversés. Un jour sûrement nous nous sentirons prêts !

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  6. De la part de M. José LaMAre

    « J’ai entendu parler de ce livre lors du passage de l’auteur à l’émission « Tout terrain » de Ici Première (Radio-Canada).

    https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/tout-terrain/segments/entrevue/456596/livre-son-odeur-apres-la-pluie-cedric-sapin-defour

    Moi qui ne suis pas familier avec les animaux domestiques, encore moins avec la gent canine, j’étais intrigué par cette histoire d’amour entre un homme et son chien.
    Au début,  je me suis heurté au style abrupt de l’auteur (après tout n’est-il pas un montagnard) et à son côté un peu misanthrope. Mais j’ai tenu bon. Puis est arrivé le chapitre XI, qui a tout changé. L’ambiance s’est allégée. Le narrateur venait de s’installer dans un petit hameau, il aimait ces trois habitants et Ubac se faisait une petite amie. Il y avait aussi ses descriptions du milieu bien original des cliniques vétérinaires. Enfin, c’était du roman. J’y suis resté. Puis est arrivée Mathilde, la fée du bord. Ensuite, la famille s’est agrandie avec l’arrivée de Cordée et Frison. Ce qui a donné lieu à de belles descriptions des chiens jouant ensemble. Il y a eu aussi ce chapitre XVI. Ubac pressentant qu’il y aura un tremblement de terre dans quelques heures, quitte son poste de cerbère et passe la nuit à la belle étoile. Le narrateur découvre alors que son ami est en symbiose avec la nature et qu’il perçoit toutes sortes de choses qui émanent de celle-ci, capacité que nous avons perdue nous les humains.
    La troisième et dernière partie est la plus émouvante, car c’est celle de la « vieillesse » d’Ubac, de son agonie et de sa mort. Humains et bêtes sont sur le même pied : mortels. C’est le début d’un deuil familial, la fin des rites qui font de la vie un poème sans fin (p. 264…). Il y a aussi le lumineux chapitre XXIII où l’on croirait qu’Ubac est toujours bien vivant. En conclusion, ce livre est un long recueil de réflexions sur la vie, la société, l’amour, la fidélité, la mort… L’onde porteuse étant la relation entre le narrateur et son chien. En refermant ce livre, je me suis demandé qui était le premier de cordée : l’homme ou la bête?

    En terminant, permettez-moi de vous parler brièvement d’un livre que j’ai beaucoup aimé et qui a une certaine parenté avec celui de Sapin-Defour. Il s’agit de : « La source et le roseau » de Jean-François Beauchemin. Dans ce livre, empreint de souvenirs familiaux, l’auteur nous parle de sa vie, de la place qu’ont occupée ses parents et celle, toute singulière, qu’a occupée son chien Camus. Tous disparus. Ce dernier est le personnage principal du récit. Le style poétique de Beauchemin est intimiste, il nous parle sur le ton de la confidence. Mais je laisse parler ma fiche du livre que je glisse en annexe. Elle est enrichie d’extraits de l’ouvrage.

    Cordialement,

    M. José LaMarre
    Québec »

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    1. Bonjour, je vous remercie pour votre commentaire. Je l’apprécie beaucoup. En plus, vous me recommandez un livre très intéressant que j’ai hâte de découvrir. Comme vous, au début, je me suis heurtée au style de l’auteur. Mais, très vite, je me suis laissée emporter par cette touchante histoire. J’aime tellement les animaux… Au plaisir de vous relire sur mon blogue !

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