Madame lit Récits de la cabane abandonnée de Grey Owl

25 réflexions sur “Madame lit Récits de la cabane abandonnée de Grey Owl”

  1. Quelle chance vous avez d’avoir un Grand Nord et ses défenseur de la vie! Nous en avons aussi dans nos forêts d’Ardennes belges. Je pense à un petit-cousin de mon épouse, garde forestiers dans l’Eiffel. Mais il faut avouer que sa protection des myrtilliers est moins romanesque que la sauvegarde du Grand Nord! Et pourtant, chacun à sa place contribue à la protection de la planète! C’est ce que j’ai perçu de la présentation de ce Grey Owl qui nous rappelle qu’on doit s’interroger sur la place que nous prétendons être la nôtre!

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    1. Je crois qu’il faut réapprendre à nous définir par rapport à notre relation à la Nature. En 1936, Grey Owl avait déjà remarqué sa dégradation. J’ai grandi dans un endroit où l’on voit les baleines danser dans l’eau et je ne peux comprendre qu’elles soient encore chassées de nos jours alors qu’elles sont amenées à disparaître. Au Canada, nous avons aussi la chance d’avoir de grands espaces. C’est magique… Merci!

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    1. Je suis alors contente d’avoir présenté cette figure tellement importante dans l’imaginaire collectif. Grey Owl a donné beaucoup de conférences aussi dans le monde pour parler de la Nature, des peuples autochtones, de la vie dans le Grand Nord. Il apparaît comme un écologiste avant-gardiste! Merci pour ton commentaire! 🙂

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  2. Bonjour Nathalie. Je te remercie de m’avoir fait découvrir Grey Owl qui semble être un personnage important pour la défense de la nature au siècle dernier. Et il semble avoir été un écrivain très intéressant, j’aime beaucoup tous ces extraits ! Surtout celui sur la cécité blanche – saisissant ! Bonne journée à toi 🙂

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    1. Je ne pense pas qu’il ait écrit un roman… Ce sont plutôt ses pensées sur la Nature, ses expériences avec les animaux, ses connaissances sur les peuples autochtones, etc. Il a fait publier d’autres livres alors tu pourras choisir celui qui capte ton attention. Merci!

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  3. Ta chronique me touche particulièrement… j’ai eu l’occasion de passer deux mois en Ontario lorsque j’avais 16 ans. Avec la fille aînée de la famille dans laquelle je séjournais, qui avait un an de plus que moi, nous allions souvent dans une cabane abandonnée, dans les bois qui jouxtaient la maison. Beaucoup moins au nord, et beaucoup moins perdu que les espaces dans lesquels il a vécu, mais, à partir de cette cabane perdue, je peux me représenter l’importance de l’abri, et la cohabitation avec ces espèces sauvages. Quelle chance que ce témoin ait eu la capacité de transcrire en mots son précieux vécu, ses émotions et ses convictions. Merci de tout cœur pour ce beau partage.

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    1. Je suis aussi touchée par ton commentaire. La cabane dans les bois fait partie de notre imaginaire collectif. Enfant, nous avions pour la plupart une cabane pour aller y jouer. Je suis bien contente si tu as pu goûter à une partie de notre essence lors de tes 16 ans. Grey Owl est un grand écologiste et un écrivain qui a témoigné d’une époque qu’il ne faut pas oublier. À bientôt! 🙂

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  4. J’aime quand Les classiques c’est fantastique permet de découvrir des auteurs inconnus. C’est le cas, en ce qui me concerne, pour cet auteur canadien dont je note le nom dans mon carnet dédié à la littérature. Vous m’avez donné l’envie de le lire. Merci pour ce partage enthousiasmant.

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