Madame lit Partie de chasse au petit gibier entre lâches au club de tir du coin 

17 réflexions sur “Madame lit Partie de chasse au petit gibier entre lâches au club de tir du coin ”

  1. En lisant le titre de ce livre, je ne me doutais pas du tout qu’il allait avoir un tel contenu! Et en fait, c’est un titre bien adapté… je pense que j’apprécierais beaucoup ce livre, ces rencontres, malgré toute cette noirceur. Merci!

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      1. Nous serons en Belgique du 9 avril jusqu’au 23. Nous avons loué un Airbnb è 3 km de spa (après). Nous allons vous inviter pour un apéro et nous pourrions sortir pour le souper. Tu en penses quoi?

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  2. Ca a en effet l’air très dur, mais comme tu dis, c’est une réalité, malheureusement… j’ai sur mes étagères « Sœurs volées », l’essai d’Emmanuel Walter sur les féminicides et les disparitions de femmes qui touchent dans des proportions inacceptables les amérindiennes du Canada, et j’en retarde depuis un moment ma lecture… je viens de réaliser qu’il rentre aussi dans l’activité autour des minorités..
    Merci en tous cas cette proposition qui est la 2e et non la 1e, comme tu l’a écris sur mon blog (tu as déjà proposé le titre de Grey Owl – d’ailleurs, j’ai voulu en savoir davantage sur lui et j’ai un peu fouillé sur internet, et vu que ce n’était pas un vrai indien mais un anglais -c’est dingue cette histoire !-).
    P.S = Je laisse mon commentaire via mon compte facebook car WordPress ne me propose plus le formulaire habituel (ça m’était déjà arrivé), mais c’est Ingannmic !

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    1. Bonjour Ingrid, je suis ravie de lire que tu penses à nous présenter l’essai d’Emmanuel Walter. Je ne l’ai pas lu mais je sais que c’est aussi un livre dont la lecture s’avère nécessaire. Ton activité autour des minorités est extraordinaire car elle nous permet de mettre en lumière des oubliés, des écorchés, des êtres humains malmenés par l’Histoire. C’est bien vrai, c’est ma deuxième contribution! 🙂 Intéressant n’est-ce pas le parcours de Grey Owl? Je le savais car j’ai lu un peu sur cet homme qui a marqué l’Histoire. Au plaisir et merci!!!

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  3. Un titre qui claque comme un coup de fusil. J’aime la noirceur quand elle est accompagnée d’espoir ou de combats afin de faire évoluer les choses. Est-ce que la dénonciation et la noirceur, à elles seules, font bouger les lignes ? Je me pose parfois des questions à ce sujet. J’aime beaucoup ta chronique et je n’ai pas trouvé de fautes malgré mes efforts (-:

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    1. Je crois que pour les femmes autochtones, il importe d’écrire, de dénoncer, car elles souffrent en raison de ce lourd silence. Il faut les lire, les écouter encore et encore et surtout, de tenter de les comprendre. Cette noirceur doit un jour finir…. Elles souffrent de ce manque de compréhension à leur égard. Elles sont des êtres humains et elles veulent le crier, le dire. Vivre de violence, de misogynie, cela doit marquer très fort le devenir à travers les générations. C’est juste mon humble avis. Merci de surveiller mes fautes! 😉 J’ai besoin de cet oeil!!! Au plaisir!

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    1. Oui, j’ai beaucoup été touchée. Je l’ai aimé et je réalise à quel point je dois encore plus essayer de mettre en lumière sur mon blogue les écrits des femmes autochtones afin de les faire connaître. Merci.

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  4. C’est vrai que le titre parait un peu amusant au départ mais qu’à la lecture de ton billet on perçoit que c’est en fait une dénonciation. Et tu as raison quand tu dis qu’on ne peut pas fermer les yeux devant tant de souffrance. Merci d’avoir présenté ce titre, j’espere que le prix qu’il a reçu lui donnera une bonne visibilité.

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    1. Je souhaite aussi que le prix qu’il a reçu lui permette de voyager un peu partout. Avoir une certaine reconnaissance et une certaine écoute aident un peu à mon humble avis à mettre un peu de baume sur les meurtrissures. Merci!

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