
Chère lectrice, Cher lecteur,
Novembre, début de la neige sur notre territoire. Départ des outardes vers un ailleurs plus doux. Piles de travaux à corriger. Feu dans le foyer dans mon salon après de longues journées au boulot. Bonheur de lire devant les flammes. Confort, confort, confort…
Mais encore, la littérature américaine était à l’honneur pour le défi Madame lit des livres du monde en novembre. Les participants ont présenté des billets très intéressants, diversifiés, pour nous permettre de découvrir un peu plus la littérature de ce coin du monde.
Donc, voici les participants en novembre et les titres des bouquins qu’ils ont lus. N’hésitez pas à cliquer sur les liens et à aller à la rencontre d’auteurs américains!
Patrice de Et si on bouquinait un peu? :
Sartoris de William Faulkner h
Les intéressants de Meg Wolitz
PatiVore :
Un gentleman à Moscou d’Amor Towles
La Jument verte :
Les frères Sisters de Patrick de Witt
Madame lit :
Citations tributaires de la littérature américaine publiées sur le blogue :
Madame lit du Joyce Carol Oates
Bravo à tous! Défi relevé en novembre ! Merci pour votre participation!
Si j’ai oublié quelqu’un, s’il vous plait, veuillez présenter le lien de votre article dans les commentaires. Il me fera plaisir de l’ajouter.
En décembre, la littérature martiniquaise sera à l’honneur. Vous avez envie de participer au défi? Il suffit de me faire parvenir votre billet peu importe le moyen (commentaires, courriel :lit.madame@gmail.com, etc.) et je le présenterai dans mon bilan mensuel.
Vous cherchez un livre de coin du monde? Vous n’avez qu’à cliquer sur Madame lit des suggestions livresques martiniquaises.
Pour clore ce mois sous le signe de la littérature américaine, je vous laisse sur ce magnifique poème de la grande poétesse américaine Emily Dickinson car je viens de terminer Les villes de papier de Dominique Fortier mettant en scène La Dame en blanc.
Aussi imperceptiblement que le chagrin
L’été s’en est allé—
Trop imperceptible enfin
Pour ressembler à quelque perfidie—
Une quiétude s’est distillée
Comme un demi-jour commencé de longtemps,
Ou la Nature qui aurait passé avec elle-même
Un après-midi retiré—
L’obscurité s’est ramassée plus tôt—
Le matin, étranger, a brillé—
Courtoise, pourtant déchirante grâce,
Comme invitée, mais qui s’en serait allée—
Et ainsi, sans une aile,
Ni l’aide d’une quille
Notre été, léger, a pris la fuite
Vers la beauté. (traduction de Charlotte Melançon)
Voici une vidéo publiée sur YouTube que j’ai trouvée très intéressante abordant le travail de cette poétesse.
Je vous souhaite un excellent mois de décembre! Au plaisir de vous lire!
Bien à vous à vous,
Madame lit
Beau bilan…
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Merci! 🙂
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Un joli éclairage sur le travail du poète…
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Merci beaucoup!
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