Chère lectrice, Cher lecteur,
Depuis six ans, je participe à l’événement Le 12 août, j’achète un livre québécois! En ce temps de pandémie où les artistes ont de plus en plus besoin de notre aide et de notre soutien, il s’avère important de leur témoigner notre amour. Vous avez envie d’encourager les autrices et les auteurs québécois? Vous cherchez des suggestions? Si cet événement vous intéresse, vous pouvez consulter la page Facebook de l’événement en cliquant sur 12 août 2021. De plus, je rédigerai un bilan en présentant l’achat de chacune ou de chacun. Donc, n’hésitez pas à me dire le titre du livre acheté.
Tout d’abord, je partage encore cette année avec vous ma liste des 10 bouquins québécois que je considère essentiels. N’hésitez pas à la consulter en cliquant sur Mes coups de cœur québécois.
De plus, la revue Les libraires a fait paraître le 14 juillet 2017 une liste de romans québécois qui font craquer les Français. Vous remarquerez que certains livres de ma liste s’y retrouvent :
D’autres bouquins de cette liste ont également été traités sur ce blogue :
- La femme qui fuit d’Anaïs Barbeau-Lavalette
- L’énigme du retour de Dany Laferrière
- Il pleuvait des oiseaux de Jocelyne Saucier
- Mayonnaise d’Éric Plamondon
- Ru de Kim Thūy
Mais encore, l’an dernier, j’ai décidé de proposer des autrices et des auteurs autochtones d’ici pour mettre en lumières leurs mots, leur imaginaire, leur vécu. Kukum de Michel Jean s’avère très populaire au Québec et en Europe.
Cette année, j’ai demandé aux abonnés de ma page Facebook (si vous voulez m’encourager d’une autre façon, n’hésitez pas à vous abonner aussi 🙂 ) de suggérer un livre québécois. Alors, cette année, ma liste sera basée sur leurs recommandations d’achat pour l’événement du 12 août.
J’ai cité l’extrait du site des Libraires. Vous pouvez, si vous le désirez, commander le livre le 12 août à partir du lien sécurisé de ce site en choisissant votre librairie indépendante préférée.
Annick Meulders suggère La trilogie «Le goût du bonheur» de Marie Laberge

«Ce coffret anniversaire souligne les 45 ans de carrière de Marie Laberge, ainsi que les 20 ans depuis la parution de Gabrielle, premier tome de la série best-seller Le goût du bonheur. L’écrivaine, auteure dramatique, comédienne et metteur en scène a créé au fil des années une oeuvre riche en émotions, caractérisée par sa fine analyse du tourment affectif.»
Sophie Bou, Carole Vadnais et Martine Raynald proposent Kukum de Michel Jean

«Ce roman retrace le parcours d’Almanda Siméon, une orpheline qui va partager sa vie avec les Innus de Pekuakami. Amoureuse d’un jeune Innu, elle réussira à se faire accepter. Elle apprendra l’existence nomade et la langue, et brisera les barrières imposées aux femmes autochtones. Almanda et sa famille seront confrontées à la perte de leurs terres et subiront l’enfermement des réserves et la violence des pensionnats. Racontée sur un ton intimiste, l’histoire de cette femme, qui se déroule sur un siècle, exprime l’attachement aux valeurs ancestrales des Innus et au besoin de liberté qu’éprouvent les peuples nomades, encore aujourd’hui.»
Isabelle Parent mentionne Maggie d’Irlande de François Guibault

«Rejetée sur une plage d’Irlande suite à une expédition militaire avortée, Marguerite Maugeois est rescapée in extremis par Nolan Lamport et ses amis. Elle reprend des forces à l’abri d’une famille patriote. L’Irlande que découvre Maggie est déchirée par la rancoeur et la haine. L’élite britannique tyrannise sans cesse les petites gens. La jeune femme côtoie rapidement les révolutionnaires, qui ont juré de chasser les Anglais oppresseurs de leur Éire sacrée… Et Nolan en fait justement partie. Jetée en prison parce que soupçonnée d’espionnage, elle en est sauvée par le seigneur de Claddagh, Shayne Fergal. Se croyant à l’abri dans la seigneurie de ce gentilhomme, son passé resurgit pour […]».
Dominique Honhon propose La route du lilas d’Éric Dupont

«Trois femmes traversent l’Amérique en suivant la floraison du lilas. Souhaitant vivre dans un printemps éternel, elles reprennent la route dès que les fleurs fanent afin de se retrouver dans une ville où le lilas vient tout juste d’éclore. Chaque soir, elles se racontent des histoires qui révèlent subtilement leurs secrets, leur passé et leur humanité. Malgré la fresque fascinante qui présente l’histoire du lilas, ce sont les personnages et leur vie tumultueuse qui propulsent ici cette suite d’histoires d’amour. Un diplomate cueille un lilas qui se propagera partout en Occident. Un photographe qui fait tourner la tête de toutes les femmes traque Édith Piaf, car on prévoit qu’elle va bientôt mourir sur scène. Une jeune fille étudie dans un couvent qui forme des épouses présentables pour les ambassadeurs. Une horticultrice célèbre se retrouve au cœur d’une guerre de pépinières. Enfin, le lilas fleurira en juillet dans un petit village de la côte gaspésienne, balayant le bonheur dans son éclosion.Combinant l’essence du mythe, du suspense et du roman existentiel, La route du lilas est un de ces rares romans qui nous aident à vivre.À toutes celles qui ont déjà chipé une branche de lilas dans un jardin public ou un terrain privé, à celles que personne ne voit et que personne n’entend, comme preuve d’amour et de considération.Préambule « De toutes les obsessions terrestres, la volonté de connaître l’avenir est celle qui engendre les pratiques les plus singulières et les plus attendrissantes. Selon une superstition, la jeune femme curieuse de savoir si la nouvelle année lui apportera un mari doit se mettre à la recherche d’une branche de lilas qu’elle coupera le 4 décembre, jour de la Sainte-Barbara, vierge et martyre. Cette branche doit être placée dans un verre d’eau et gardée dans la demeure. Si des feuilles apparaissent avant Noël, la jeune femme se mariera dans la nouvelle année. Dans les pays froids où le lilas se trouve partout en abondance, cette activité est à la portée de toutes les bourses. Mais le savoir du lilas est limité, car il ne répond qu’à une seule question : l’année nouvelle m’apportera-t-elle oui ou non un mari ? Aussi, étant donné que sainte Barbara fut sauvagement torturée – on lui arracha les seins – pour avoir refusé de se marier avec l’homme que son père avait choisi pour elle, on se demande par quelle cruelle ironie on en est venu à lui poser une telle question par l’entremise d’un arbuste. On ne lui en voudra donc pas de se faire souvent avare de réponses. Si le lilas fleurit, il y aura mariage. Nul n’est cependant capable de prédire comment il se terminera, si le meilleur saura faire oublier le pire ni si le pire des cas est préférable au célibat. À celle qui n’aurait jamais dû dire toujours, le parfum envoûtant du lilas aura servi d’avertissement. »
Karine Chamberland suggère tous les livres de Michel Jean ou de David Goudreault. Voici :
Ta mort à moi de David Goudreault

«Marie-Maude Pranesh-Lopez est aux prises avec un « trou blanc » qui la pousse à toujours fuir vers l’avant, à tout essayer, ce qui se solde invariablement par une profonde indifférence. Sa mère provoque volontairement des accidents de la route, qui causent des embouteillages. Son père, fervent consommateur de psycho-pop, se livre à la méditation chromatique et adhère à tout ce qui peut favoriser sa croissance personnelle. Dans un récit déconstruit, entrecoupé de pages du journal intime de Marie-Maude, l’auteur explore le thème de la fatalité, en mettant en scène des personnages pour lesquels la rédemption n’arrive pas.»
Manon-Louisa Léger propose Les villes de papier et Au péril de la mer de Dominique Fortier

«Aux belles heures de sa bibliothèque, le Mont-Saint-Michel était connu comme la Cité des livres. C’est là, entre les murs gris de l’abbaye, que trouva refuge, au xve siècle, un peintre hanté par le souvenir de celle qu’il aimait. C’est là, entre ciel et mer, que le retrouvera cinq cents ans plus tard une romancière qui cherche toujours le pays des livres. Ils se rencontreront sur les pages d’un calepin oublié sous la pluie. Avec ferveur et intelligence, Dominique Fortier grave dans notre esprit un texte en forme de révélation, qui a la solidité du roc et l’ivresse des navires abandonnés. À la fois roman et carnet d’écriture, Au péril de la mer est un fabuleux hommage aux livres et à ceux qui les font.»
Pour lire mon article sur ce roman, cliquez sur Au péril de la mer.

Livre audio disponible : narré par Marianne Marceau et l’auteure, Dominique Fortier, sur une musique de Patrick Ouellet. Durée : 3h16
«Elle est tour à tour visage, masque, maison, ville tout entière, énigme, absence. Figure mythique des lettres américaines, Emily Dickinson demeure encore aujourd’hui un mystère. Celle que l’on surnommait « la dame en blanc » a toujours refusé de rendre sa poésie publique ; on s’entend pourtant maintenant à voir en elle un des écrivains les plus importants du dix-neuvième siècle. Les villes de papier explore son existence de l’intérieur, en mode mineur, à travers ses livres, son jardin et ses fantômes. Autour de moments de la vie d’Emily, Dominique Fortier (Au péril de la mer, prix littéraire du Gouverneur général) trace un roman à la fois grave et cristallin, et nous offre une réflexion d’une profonde justesse sur les mondes qui nous construisent, sur les lieux que nous habitons et qui nous habitent aussi.»
Pour lire mon article sur ce livre, cliquez sur Les villes de papier.
Josée Bouchard suggère tous les livres de François Blais. Voici

«C’est avec sa verve habituelle que François Blais aborde de plein fouet un sujet difficile et douloureux, celui de la disparition de Mélanie Cabay, survenue le 22 juin 1994. En fait, la disparition et la mort de la jeune femme servent de prétexte à un récit hybride, qui allie enquête policière et réflexions personnelles. Devant la violence faite à des dizaines de jeunes femmes, devant l’incapacité des forces de l’ordre à résoudre ces crimes odieux, François Blais répond avec un mélange de vulnérabilité et de sens critique qui secouent le lecteur. Si les souvenirs de cet été 1994 permettent un voyage dans le temps à la François Blais, la nostalgie est ici teintée de douleur, voire de culpabilité. Ces jeunes femmes qui disparaissent, ces Mélanie, Kristina, Karine ou Rosiana, François Blais les ramène à notre mémoire, leur redonne vie quelques instants, le temps de se dire qu’elles auraient pu être ses soeurs, ses copines, ses professeures. L’enquête qu’a menée François Blais auprès des membres de la famille de Mélanie Cabay, les échanges qu’il a eus avec ses amies et amis, de même que ses lectures minutieuses de tout ce qui concerne ce douloureux épisode n’ont rien de voyeur ou d’opportuniste. Au contraire, la tendresse et la douceur que l’auteur manifeste pour Mélanie, et avec elle, envers toutes les jeunes filles évoquées, rappellent en fin de compte qu’au-delà des statistiques et des » cold cases » se dissimulent des vies remplies de sourires, de promesses et de quotidien heureux.»
Argali Lit mentionne Le lièvre d’Amérique de Mireille Gagné

«L’organisme de Diane tente de s’adapter doucement. Elle dort moins, devient plus forte et développe une endurance impressionnante. L’employée modèle qu’elle était peut encore plus se surpasser au travail. Or des effets insoupçonnés de l’intervention qu’elle vient de subir l’affolent. L’espace dans sa tête se resserre, elle sent du métal à la place de ses os. Tout est plus vif – sa vision, son odorat, sa respiration. Comble de la panique, ses cheveux et ses poils deviennent complètement roux en l’espace d’une nuit. Et puis les mâles commencent à la suivre. Quinze ans plus tôt, Diane connaît un été marquant de son adolescence à l’Isle-aux-Grues, ces jours de grosse mer où Eugène bravait les dangers, la fascination de son ami pour les espèces en voie d’extinction et – comment s’en remettre – le soir de l’incendie. Ce roman, une fable animalière néolibérale, s’adresse à celles et ceux qui se sont égarés.»
Elle propose aussi Modifié de Sébastien L. Chauzu

«Martha Erwin, la quarantaine, en couple avec Allan depuis longtemps, partage son temps entre un job de détective improvisé pour le groupe que dirige son oncle, quatrième fortune du Canada, et ses manigances familiales. Un soir d’hiver, un jeune garçon amateur de chasse-neiges et déblayeur hors-pair croise sa route, avant de se manifester de plus en plus souvent à son domicile. Premier roman.»
Ginette Robillard propose Comment devenir un monstre et Comment devenir un ange de Jean Barbe

«Un homme, surnommé le Monstre, refuse de parler et attend, en prison, la tenue de son procès. Venue de l’étranger pour l’assister, un avocat cherche à découvrir les raisons de son mutisme et les circonstances entourant ses crimes. Sur les traces de son client, dans un pays qui se relève à peine d’une guerre fratricide, l’avocat est plongé bien malgré lui au coeur d’une tragédie, où la folie des hommes ordinaires favorise la naissance des monstres.Récit d’aventures, histoire d’amour, quête philosophique, Comment devenir un monstre se lit comme un roman policier où tout le monde serait à la fois coupable et innocent. D’un souffle vif et soutenu, ce texte porte un regard lucide sur la condition humaine, ses parts d’ombre mais aussi ses moments de rédemption.»

«Le point de vue des éditeurs
« Je sais que demain le soleil va se lever. Cela me donne-t-il pour autant un pouvoir sur le soleil ? »
Personnalité énigmatique, gourou malgré lui, homme d’une absolue bonté, Victor Lazarre a-t-il des pouvoirs surnaturels ou sait-il seulement écouter les autres au point de modifier le cours de leur vie ?
Cette question va accompagner François pendant des années.
Journaliste débutant, François vit avec deux jeunes gens, une fille étrange nommée Provençal, et l’imprévisible Fred. En vingt ans d’une amitié fondée sur le respect et l’indépendance, des années 1980 à nos jours, ces trois copains vont évoluer, changer, s’arracher au passé, en subir parfois les conséquences, tout en percevant, ensemble, le chaos d’un monde totalement redessiné par ces décennies mouvementées. Amours, violences, utopies fracassées, expériences et déviances, réussites et déceptions professionnelles, c’est avec tous ces bagages – accomplissements et ratages mêlés – que François se trouve un jour dans l’obligation d’écrire un livre sur Victor Lazarre. Car ce matin, sous ses yeux ébahis, Victor s’est envolé…»
Caroline Moreno propose son livre Sans Cérémonie

«Je reprends l’examen du calendrier de Charles. J’y lis sa tentative de mener une vie organisée, routinière : banque, loyer, épicerie, lessive, poubelle, volleyball, patinage. […] De toute évidence, Charles avait planifié son suicide comme un voyage, avec les effets qu’il convient d’apporter et une date de départ.»
Myriam Caron B. ajoute à cette liste un livre pour enfant À qui la frite? de Chloé Varin et France Cormier

«Gontrand le goéland règne sur son stationnement en se gavant de frites bien croustillantes du matin au soir. Seule au bord du fleuve, sa cousine Mariette la mouette s’enfile des poissons dans le gosier à longueur de journée. Lui a un urgent besoin de vacances. Elle a l’envie profonde de tromper la solitude. Ils partent tous deux à l’aventure… mais trouveront-ils ce qu’ils cherchent ?»
Isabelle Joanette propose un livre de jeunesse Milagro de Christine Valois

«Accompagné de sa mère, Americo rejoint son oncle et sa tante dans les Caraïbes où, à bord du voilier l’Odyssée, ils étudient les baleines à bosse pendant leur migration. Le jeune garçon espère aussi échapper ainsi aux tentacules du dangereux Dylan, dont le retour à Tadoussac risque de lui empoisonner l’existence. Au cours de ce fabuleux voyage, Americo développera un lien bien spécial avec Milagro, un jeune rorqual à bosse qui lui fera vivre de formidables péripéties. Il se rendra aussi vite compte que, si la vie sur la mer est merveilleuse, elle peut aussi être pleine de dangers, mais que la pire menace ne vient pas de l’océan.»
Et elle nous propose son livre pour adulte Évacués

«Histoire basée sur des événements réels. Quelqu’un a déjà dit : « Chacun des 80 000 évacués de Fort McMurray a une histoire à raconter… » En voici sept. Sept personnes, sept vies, un point commun: Fort McMurray. Cette fiction est inspirée de la tragédie qui s’est déroulée en Alberta en mai 2016. Bien que les personnages soient issus de l’imagination de l’autrice, leur vie pourrait être celle de n’importe quelle victime des terribles incendies survenus à Fort McMurray. Plongés au cœur des événements, un pompier forestier, une adolescente, une infirmière québécoise et quatre autres personnages œuvrant dans différents secteurs racontent leur vie avant, pendant et après le drame. Malheureusement, certains vivront des catastrophes qui pourraient leur être fatales.»
Claude Lamarche mentionne n’importe quel Serge Bouchard (il est décédé dernièrement). Voici son dernier Un café avec Marie

« Nous prenons ce bon café, le premier du matin, nous établissons ensemble le plan de la journée, de la semaine. […] Marie mange des oeufs à la coque avec des mouillettes. Nous voudrions tous les deux que ce moment dure, nous voudrions abolir le futur. […] Plus rien n’existe que cet instant, que cette scène où nous discutons, Marie et moi, en buvant notre tasse de café. Mais le meilleur, c’est quand elle ne dit mot, quand je garde moi-même le silence, et que nous nous entendons penser, elle dans ma tête et moi dans la sienne. »Les quelque 70 textes qui composent ce nouveau recueil de Serge Bouchard pourraient s’appeler des « micro-essais », d’abord parce qu’ils ont été écrits pour la radio de Radio-Canada, et aussi en raison de l’exigence artistique qui les inspire, celle de la brièveté, c’est-à-dire d’une prose aussi dense, économique et précise que possible, et qui possède en même temps le pouvoir d’évocation de la poésie. Mais avant tout, ce recueil est un livre d’amour et de deuil, tout entier placé sous le signe de Marie, la compagne trop tôt disparue, dont la présence (ainsi que l’absence) colore chaque page, chaque phrase, chaque évocation. Non pas qu’il y soit toujours question d’elle, loin de là ; comme toujours chez Serge Bouchard, c’est de notre vie quotidienne, de notre monde, de notre passé, de la nature autour de nous qu’il est question, et en particulier de tout ce que nous ne voyons pas et que seul le regard affûté du poète anthropologue sait nous faire découvrir. Mais Marie est toujours là, tout près, en arrière-plan, dans la pièce d’à côté, en quelque sorte, et c’est dans son regard et son esprit à elle que tout se déploie, autant que dans ceux de son compagnon qui tient la plume.»

Je vous lance bien humblement l’invitation à vous joindre à moi le 12 août en achetant un livre, ou deux ou trois québécois. Ainsi, nous allons contribuer à faire rayonner la littérature québécoise dans le monde.
Allez-vous participer? Quel livre québécois aimeriez-vous acheter? J’ai hâte de connaître vos achats pour mon bilan! N’hésitez pas à écrire le ou les titres achetés dans les commentaires.
Bien à vous,
Madame lit
Source : Les libraires
Cet article contient des liens d’affiliation grâce à un partenariat avec la coopérative des Librairies indépendantes du Québec. Vous pouvez commander les livres mentionnés par le biais du site Web des Libraires grâce à un lien sécurisé.
Belle idée, et je suis toujours partante pour enrichir ma bibliothèque. J’ai déjà acheté quelques titres québécois en prévision du Mois du Québec, en novembre, mais j’y ajouterai volontiers « L’orangeraie » !
Ingannmic (https://bookin-ingannmic.blogspot.com/)
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Excellent choix! Cette histoire est inoubliable. Je noterai ton titre pour le bilan. Au plaisir!
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A reblogué ceci sur Madame litet a ajouté :
Madame lit un rappel pour le 12 août!
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